samedi 7 septembre 2024

⚡️ La Maison Grand-Ducale de Hesse – Critique faisant autorité !

 

Pour acheter :

 

http://www.eurohistory.com

 

« Royal Collections IV. The Grand Ducal House of Hesse » par Arturo E. Béeche et Ilana D Miller. (Eurohistory.com), 324 pages, entièrement illustré.

 

La maison grand-ducale de Hesse est l'une des plus importantes de toutes les dynasties allemandes, et entretient des liens avec presque toutes les autres familles régnantes d'Europe. Elle entretient des liens particulièrement forts avec la Russie impériale et la famille royale d'Angleterre, ce qui en fait une lecture passionnante.

 

L'histoire commence en 1567 lorsque les fils du landgrave Philippe le Magnifique se partagent ses vastes terres. De ce partage territorial naissent toutes les branches de la famille de Hesse. Le landgraviat de Hesse-Darmstadt devient un duché indépendant la même année. 

 

Les premières années sont une succession de remaniements territoriaux, les terres étant échangées, troquées ou héritées lorsque des branches de la famille s'éteignent. Ce n'est qu'à partir de Louis IV (mort en 1626) que le droit d'aînesse est instauré. 

 

Darmstadt fut également en première ligne lors de diverses guerres. Les fils de la famille étaient des soldats et des mécènes. Le landgrave Ernest Ludwig fit construire dans les années 1720 le Wolfsgarten, qui devint très apprécié par les générations suivantes.

 

En 1806, le landgrave Louis X devint grand-duc Louis Ier, grâce à Napoléon et à la Confédération du Rhin. C'est à cette époque que fut construit le vieux palais.

 

Le château de Heiligenberg fut intégré à la famille sous Louis II. Il devint plus tard le théâtre de nombreuses réunions familiales entre les familles Hesse et Romanov. L'épouse de Louis, Wilhelmine, avait une deuxième famille, que l'on croit avoir pour père August Senarclens de Grancy, mais que le grand-duc a officiellement reconnue comme étant la sienne. L'une de ces enfants, Marie, épousa Alexandre II de Russie ; l'autre, Alexandre, fit une union morganatique avec la comtesse Julie von Hauke ​​et devint l'ancêtre de la famille Battenberg.

 

 

 

Louis II fut remplacé par Louis III, qui n'avait pas d'enfants. C'est le neveu de ce dernier, le futur Louis IV, qui établit le lien avec la Grande-Bretagne en épousant en 1862 la princesse Alice, seconde fille de la reine Victoria. Leur fille Victoria épousa le fils d'Alexandre et Julie, le prince Louis de Battenberg, et devint la mère de la princesse Alice (épouse du prince André de Grèce), de la reine Louise de Suède, de Georges le marquis de Milford Haven et du comte Mountbatten de Birmanie. La princesse Alice de Grèce était la mère du duc d'Édimbourg. 

 

The family of Alice and Ludwig IV suffered tragedy after tragedy. Two daughters, Alix (wife of Nicholas II) and Ella (wife of Grand Duke Sergei Alexandrovich) met their deaths in 1918 at the hands of the Bolsheviks. Ernest Ludwig died just a month before his son George Donatus, his wife Cecile of Greece and their two sons were wiped out in an air crash in thick fog on their way to the wedding of George’s brother Ludwig and Margaret Geddes. Their third child died shortly afterwards from Meningitis. Despite all this Ludwig and Margaret (or Lu and Peg as they were known) devoted themselves to the welfare of the people of Darmstadt, becoming humanitarians and patrons of the arts. Unfortunately, their marriage remained childless and marked the end of the line. The royal turn-out for Peg’s funeral in 1997 shows how popular she was among her adopted family.

 

The final chapter looks at the women of the Hesse-Darmstadt family (who vastly outnumbered the males). The often-neglected female line provides the ancestors of just about every Royal family in Europe, the daughters of Landgrave Louis IX being particularly active in his respect.

 

The authors had the advantage of interviews with many members of the extended Hesse family, including the late Countess Mountbatten of Burma and Prince Alfred of Prussia, who provided some fascinating insights into the life of his father Prince Sigismund in Costa Rica. Prince Alfred attended a Eurohistory Conference in California in 2000 (I never forgot the sight of his queuing with the rest of us in a fast food chain). 

 

As usual with Eurohistory, the book is packed with magnificent photos, many of them previously unpublished. They show that there was a lot of mingling between the various branches of the family, something that has often been played down more recently because of the German links The Duke of Edinburgh’s sisters all married Germans and there are some wonderful pictures of Prince Philip with his German relations, which in the U.K. we don’t often see. I found it particularly interesting to see photos of buildings in Darmstadt destroyed in the Second World War and I also spotted a rare image of a smiling Empress Alexandra Feodorovna of Russia among a group on page 135.

 

The text is authoritative, well researched and easy to read. This work is a “must” for all devotees of European royal history.  A fascinating read, highly recommended.

 

By Coryne Hall

 

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The Grand Ducal House of Hesse

 

 

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